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Actualités
23 mars 2016

Tiens, tiens! L’inintelligibilité, maladie contagieuse, serait en train de se propager outre-manche

Outre-Manche, les téléspectateurs haussent le ton. Ils se plaignent de ne rien entendre de ce qui se joue à l’écran quand sont diffusées leurs séries préférées.

 

“La série est dure à suivre, disent-ils – non que l’intrigue soit particulièrement retorse, mais parce qu’il est difficile de comprendre ce que marmonnent les acteurs.” Ces derniers jours, rapporte The Sunday Times, broadchurch_1les fans de la série Happy Valley ont rejoint le bataillon des téléspectateurs britanniques en colère. La cause de leur courroux : ils affirment ne rien entendre des répliques prononcées à l’écran par l’actrice Sarah Lancashire, l’héroïne de cette série policière diffusée par la BBC.

“C’est une hécatombe, apparemment”, constate le quotidien londonien, qui dresse la liste des séries ayant récemment suscité l’ire du public : Jamaica Inn (une nouvelle adapatation de L’Auberge de la Jamaïque, le roman de Daphné Du Maurier), Shetland, Guerre et paix, Broadchurch, Wolf Hall… Autant de programmes haut de gamme, ayant a priori bénéficié de budgets conséquents et qui n’ont pourtant pas réussi à passer le mur du son.
Alors quoi ? The Sunday Times s’est livré à “une vaste, quoique peu scientifique étude”, sondant acteurs, producteurs et techniciens du son pour tenter de comprendre où le bât blessait. Son verdict : tous coupables. “Il y a une tendance, du côté des jeunes acteurs, à vouloir jouer la carte du ‘naturalisme’, qui est pour nous celle de l’inaudible”, accuse Simon Clark, ingénieur du son sur Wolf Hall. Entendre : ils refusent d’articuler clairement, arguant que personne ne s’exprime ainsi dans la vraie vie.

Le retour du sous-titrage?

Les réalisateurs, quant à eux, ne sauraient pas toujours bien diriger leurs acteurs, surtout quand ils sont aussi scénaristes : connaissant les lignes de dialogue par cœur, ils n’ont pas besoin de les entendre pour les comprendre. Mais que fait le producteur, alors ? C’est là que le cas de Happy Valley devient croustillant : Sally Wainwright cumulant les casquettes de scénariste, réalisatrice et productrice, il n’y aurait eu personne sur le tournage pour sonner l’alerte et demander à Sarah Lancashire de hausser le ton.

Sachant que les écrans plats aussi s’en mêlent (les enceintes étant en général placés à l’arrière sur ce type d’appareils, une partie du son est absorbée par le mur), The Sunday Times finit par aller au bout de son raisonnement par l’absurde et pose la question : faudra-t-il un jour se résoudre à sous-titrer tous les programmes diffusés sur les ondes ?

—The Times

Article publié dans Courrier international – Paris le 16/03/2016

Atelier Plug In
4 mars 2016

Réunion atelier plug-in 27/01/16

Etaient présents : Jean Mallet, Niels Barletta, Jean-Pierre Laforce, Clément Laforce

 

Un compte-rendu du travail effectué depuis la précédente réunion est présenté par Niels Barletta et Jean-Pierre Laforce.

Elle fait état des tests techniques réalisés sous smart audio afin de définir les fonctions de transfert des différents plug-ins. Cela permettra de définir précisément les réglages de chaque plug-ins afin d’obtenir la même courbe de traitement.

Un protocole d’expérimentation est définit.

Proposition est faite de prendre comme référence l’EQ d’une Harrison (ou d’une Neve) pour la comparer avec les plug-ins suivants :

 

Fabfilter

Air eq

Epure

Sonnox + GML

Channel strip

DMG

EQ3

Q10

Plug-ins à phase linéaire

 

L’expérimentation se déroulera en deux temps :

– Enregistrement d’échantillons audio traités :

En petit comité, il sera choisi un ensemble d’échantillons audio (directs bouchés, voix d’homme, de femme…) de 10 à 15 secondes. Les échantillons musicaux sont écartés compte tenu des grandes disparités qu’il pourrait y avoir en fonction du type de musique, de l’instrument choisi…

L’image associée à ces directs sera utilisée dans la mesure où la correction à y apporter dépend aussi de celle-ci.

1 – une correction qui satisfait tout le monde est effectuée sur un échantillon avec l’harrison

2 – La fonction de transfert de la correction obtenue est mesurée sur la harrison via Smart tool ou pure analyser en utilisant un bruit blanc.

3 – Les plug-ins sont réglés de manière à obtenir une fonction de transfert analogue.

4 – Enregistrement des échantillons au travers des plug-ins ainsi réglés.

 

Cette première phase devrait avoir lieu fin Février

– Comparaison :

Le protocole exact sera définit en fonction des résultats de la première partie.

Il se fera néanmoins à l’aveugle sur un nombre de mixeur plus important si les résultats de la première partie sont significatifs.

 

 

 

Avenir de l’atelier :

 

Est évoqué, par ailleurs une deuxième piste de rechercher concernant RX

 

Compte tenu des résultats parfois peu rassurants constatés en mixage quant à l’utilisation de cet outil, il est proposé de faire un guide d’utilisation/tutoriel à partir d’exemples concrets. Il y serait proposé une méthodologie de travail quand à l’écoute.

L’accent serait mis, dans un premier temps, sur le denoising.